O glorieux Saint Michel, permettez que nous vous apportions l’hommage de notre reconnaissance, de notre vénération, de notre amour.
Commis par l’Eternel à la garde du droit, vous avez rejeté dans les abîmes Satan et ses suppôts, inclinant votre épée devant le Dieu-faitHomme et la Vierge qui devait enfanter et devenir la Reine des Anges.
Le peuple élu vous vit à sa tête lorsqu’il errait dans le désert, et vous fûtes, dans son exil, son espoir et sa force.
Sur le berceau de l’Eglise, héritière de la Synagogue, tendrement vous avez veillé. Votre devise devint sa devise et depuis deux mille ans, rien de grand ne s’est opéré dans son sein en dehors de votre intervention féconde.
Baptisée la première des nations, dans le sang du Christ, la France vous aima la première. Aussi vous êtes-vous ingénié à faire d’elle, à votre image et à votre exemple, le bon sergent de Dieu. Des champs de Tolbiac aux sommets du mont Tombe; des sommets du Mont Tombe aux vallons de Domrémy ; des siècles reculés au temps où languit notre vie, vous avez écrit les meilleures pages de notre histoire. Naguère encore dans l’éclat de la piété de votre XIIe centenaire, sur ce coin immaculé de terre française où la foi vous éleva votre temple, le plus merveilleux et le plus célèbre, qui donc n’a reconnu votre si douce intervention ?
Ajoutez encore à vos bienfaits ô bon et puissant Archange, prenez sous votre garde tout ce que nous avons et tout ce que nous sommes, nos personnes et nos biens, nos familles et nos paroisses, nos évêques et nos prêtres.
Cette consécration solennelle, nous la voulons nationale, et nous renouvelons, autant qu’il est en nous, le pacte séculaire qui lie la France au Prince des Anges.
Nous vous saluons, nous vous bénissons, nous vous acclamons, mais de grâce, défendeznous dans le combat !
Les ténèbres du doute et de l’erreur nous envahissent de toutes parts : Archange de lumière, dissipez nos ténèbres! Les volontés fléchissent et les courages chancellent: Archange victorieux, ranimez nos ardeurs et communiquez-nous la flamme qui fait les âmes justes et les peuples vaillants !
Les cœurs s’attachent à la chair et au sang : ô Séraphin sublime, arrachez-nous à la fange et portez-nous à Dieu!
Veillez tout spécialement sur nos foyers, où la foi et l’innocence subissent de si rudes assauts, et commandez à Satan d’y respecter la paix et la vertu.
O saint Michel, gardez l’Eglise et son chef admirable; sauvez notre patrie bien-aimée, protégez son clergé et ses fidèles, convertissez ses fils égarés.
Que le Cœur Sacré de Jésus, que Marie Immaculée vous envoient vers nous, avec la bienheureuse Jeanne d’Arc; et que le règne de Dieu s’établisse sur nous et sur le monde à jamais, pour qu’à jamais, ô grand Prévôt du Paradis, nous soyons associés à vos triomphes.
Ainsi soit-il !
Saint Michel Archange 
Bonjour à vous,
Si vous me permettez, et cela malgré le militantisme de plusieurs, surtout en cette fin des temps, nous en sommes malheureusement très loin de la perfection des premiers chrétiens.
Tant, il m’arrive de devoir constater que bien des conduites courantes, ne sont guère différentes de celles venant du monde des païens, comme de toutes les pratiques en douce.
Consistant à faire croire, que si vous vous conduisez pas comme eux, vous êtes forcément pour le mensonge ou contre la lumière, et donc vous êtes contre Dieu, c’est donc un peu facile je trouve. Néanmoins, si vous saviez vous cultiver comme eux, il y aurait par conséquent une moins grande perte de la foi, tant ils en ont souvent plus de prétentions militantes à la bouche.
Et même lorsqu’ils vous parlent de péché grave, c’est toujours à l’égard de leurs semblables sachant moins fonctionner comme eux, pour ça que tous ceux qui ne sont pas dans le militantisme, ne sont plus dans le sacrement de réconciliation.
Nous pourrions nommer ces gens là, des Chrétiens très malins, comme je crois dans certains courants politiques, c’est pourquoi ils savent pas plus ce qu’ils font, tant ils ne sont jamais les derniers à dénoncer je ne sais quoi chez leur prochain.
A les entendre, il n’y a que ces gens là qui ne sont jamais en état de péché mortel ; néanmoins, si chacun essayait d’avoir une vision claire, de la manière dont ils s’y prennent, nous pourrions comprendre pourquoi ils ne savent pas plus porter la Croix.
Néanmoins, les derniers convertis savent mieux témoigner des choses de la foi, c’est à se demander, si cela ne serait pas plutôt ces gens là qui constitueraient pas moins la plus grande menace envers l’Église. Car si de votre coté, vous arrivez encore à les écouter, d’autres moins sous le charme doivent tout autant s’en interroger, vu que beaucoup par peur de se passer des premières influences humaines ou hypnotiques de leur temps, n’agissent pas moins de la sorte.
De ce fait, si vous ne défendez pas la vérité, vous êtes forcément contre la vérité, un peu comme à l’image de la bête ces derniers temps, c’est une image bien évidemment. Une certaine forme de Christianisme, donnant l’impression d’une chose sur le moment, mais qui en réalité n’est pas moins délétère que le reste de la société, surtout contre toute autre forme de veille contre cela.
Des gens ne chutant jamais sur rien, qui d’ailleurs de leur coté en sapent pas moins l’ordre naturel des choses, Mais ils vous feront toutes ces choses à cause du nom du Seigneur, le Seigneur d’ailleurs n’aurait jamais du mourir sur la croix comme un faible. En vérité, il y en aurait tant à dire sur la conduite de beaucoup, qu’une seule vie d’homme ne suffirait pas pour en témoigner. Naturellement, plus ils rechercheront tous à faire les malins, et plus je vois mal comment le cours des choses pourrait être évité. Une question pourrait se poser ? Font-ils vraiment la volonté du Père ? Acceptent-ils vraiment tous le cour des événements ? Certes, ils pourraient tous s’en donner l’impression dans leur volonté propre, hélas ce sont souvent des conduites qui veulent constamment maîtriser les premières circonstances individuelles ou collectives des choses dans la vie, quand bien même autre chose serait dit, de la sorte ils ne lisent pas tout des écritures.
Matthieu 5:11
Heureux serez-vous, lorsqu’on vous outragera, qu’on vous persécutera et qu’on dira faussement de vous toute sorte de mal, à cause de moi.
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