Le crime favorise la dictature mondiale

Chers frères en Christ,

Nous ne pouvons plus être ni dupes, ni léthargiques, car, l’heure est grave. L’irresponsabilité des dirigeants est à son comble. Le laxisme général engendre, en toute logique, le chaos sur l’ensemble de la planète. Le saccage de la faune et de la flore augmente dangereusement. Les meurtres et les crimes pullulent sur la surface de la terre. Les guerres se multiplient sur tous les continents. Pendant ce temps, les foules endormies se laissent bercer au gré du vent. La réponse la plus probable que l’on vous ferait, si vous demandiez aux gens pourquoi ceux-ci se contentent de vaquer à leurs occupations matérielles, est « je ne sais pas quoi faire », « je ne peux rien changer », etc… La solution de facilité consiste à accepter sans condition, tout et n’importe quoi, au nom de la « liberté ». Cette même liberté mal employée sera bientôt le prétexte pour mieux nous enchaîner.

Le laxisme se répand comme l’athéisme. La décadence de notre civilisation arrive pratiquement à son comble. Lorsque le moment sera venu, les loups sortiront des bois pour mettre un frein au chaos. Seulement, ces êtres dénués de charité agiront avec une cruauté terrifiante. Afin de rétablir l’ordre, ils n’hésiteront pas à massacrer tout ce qui bouge ou ce qui n’est pas obéissant. Non, il ne s’agit pas d’un scénario de film de science-fiction, mais, d’une réalité palpable qui se concrétisera dans un futur proche.

Si nous n’employons pas les bons mots pour rétablir la Vérité, nous contribuons, ni plus ni moins, à l’instauration de cette dictature infernale. Notre Seigneur Jésus-Christ n’hésitait pas à chasser les marchands du temple, à blâmer les pharisiens, à utiliser la sainte colère pour remettre de l’ordre là où il y avait du chaos. Jésus-Christ rabaissait les orgueilleux et élevait les humbles. Cependant, Il ne Se défendait pas lui-même afin de ne pas être prétexte à l’orgueil. C’est pourquoi le Fils de Dieu supportait en silence les brimades sur Sa personne. Sa Crucifixion a permis le rachat de tous nos péchés. Voilà le Suprême Supplice qui plut tant à Son Père. Dieu apaisa Sa Justice et offrit Sa Rédemption au monde.

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Le tympan de Conques nous rappelle tout ceci. Sur la gauche du tympan, c’est-à-dire à la droite de notre Seigneur, les Justes sont ordonnés et obéissants à Ses commandements. Sur la droite du tympan, c’est-à-dire à la gauche de notre Seigneur, les méchants sont chaotiques et indisciplinés. Le monde actuel, en 2015, est devenu injuste. À ce titre, notre civilisation se place, aujourd’hui, à gauche de notre Seigneur Jésus-Christ, c’est-à-dire en enfer. Le modernisme, adulation mortifère du corps humain et du matériel périssable, est la négation stricto sensu de la Divinité Trinitaire, c’est-à-dire du bon, du beau et du Bien. La véritable foi qui élève l’âme vers Dieu, omnipotent et atemporel, est rejetée au profit de l’adoration païenne du monde éphémère. Les trésors ne sont plus espérés dans l’Éternité mais dans l’immédiateté, suprême hérésie idolâtre et fallacieuse.

Les fils de Satan n’hésiteront pas à nous reprocher les attitudes dépourvues de bon sens. Ils nous lanceront, d’un ton glacial et accusateur, « pourquoi n’avez-vous pas pris soin de la planète ? » « pourquoi n’avez-vous pas défendu vos frères face aux crimes ? » « pourquoi agissez-vous comme de stupides animaux ? » « pourquoi ne voyez-vous pas plus loin que le bout de votre nez ? » « pourquoi êtes-vous aussi naïfs ? »

Leur constat sera implacable. Ils affirmeront, non sans raison (bien que fallacieuse, c’est-à-dire mensongère), qu’ils « possèdent la légitimité pour imposer un nouvel ordre mondial ». Cette dictature sera inique, cruelle et finalement impitoyable parce qu’elle ne sera plus basée sur les enseignements de notre Seigneur Jésus-Christ.

Or, à quoi correspond une civilisation sans les enseignements d’Amour de notre Seigneur Jésus-Christ ? On peut en avoir un aperçu en regardant l’image suivante.

avec_sans_jesus

Ainsi, l’apostasie massive a arraché le pouvoir appartenant à l’Église de notre Seigneur Jésus-Christ pour le donner aux orgueilleux qui souhaitent dominer le monde. Ces gens-là doivent être désignés par leur véritable nom ; « fils de Satan ». Ne soyons pas tendres avec ceux qui maudissent l’humanité, car, par notre silence complice, nous faisons leur jeu. Soyons durs et tranchants avec les méchants, mais, soyons doux et tendres avec les humbles et les souffrants. Si nous faiblissons devant l’ennemi, nous serons anéantis. Nos familles seront brisées, ensanglantées. N’en doutons pas un seul instant.

Formons de nouveau le corps du Christ en obéissant à Ses commandements d’Amour. L’Amour est intransigeant. Il est droit, strict, moralisateur, juste et vertueux. Il sanctionne le désordre et le vice. Sans rigueur, le chaos s’installe. Toutefois, sans douceur, l’Amour devient sécheresse du cœur. C’est pourquoi l’Amour doit être La « voie royale ». L’Amour est comme un fil de rasoir. Pour le connaître véritablement, il faut se montrer irréprochable tout en sachant pardonner et se pardonner afin de pouvoir progresser à son rythme jusqu’à Dieu. Cette lutte perpétuelle contre notre nature déchue ne prend fin qu’à notre disparition. Après notre mort, nous rejoignons le paradis, le purgatoire ou l’enfer. Il n’y a aucune autre issue malgré ce que racontent les innombrables hérésies.

Le temps des jérémiades doit cesser. Nous devons nous préparer, par la prière et par la méditation sur la Crucifixion de Jésus-Christ, à reprendre le pouvoir afin de rétablir une civilisation chrétienne qui respectera les commandements de Notre Seigneur. À ce titre, nous devons protéger les enfants, abolir l’esclavage, rétablir la charité en ouvrant des hospices, des monastères. Nous devons restaurer ce qui a fait la gloire de notre millénaire civilisation chrétienne. Nous devons rétablir l’esprit chevaleresque qui consiste à défendre la veuve et l’orphelin. Nous devons enseigner à nos enfants les règles de morale, l’histoire du christianisme et de notre nation, la rhétorique, la théologie et tout ce que nous jugeons indispensable au bien-être de notre jeunesse afin d’en faire des êtres dignes de notre Seigneur Jésus-Christ, c’est-à-dire aimants, obéissants et fidèles.

Si nous persistons dans la nonchalance, la couardise et l’indifférence, nous ne devrons pas être étonnés, d’ici quelques mois, de voir la guerre s’abattre sur nos nations. Il s’agira d’un châtiment divin qui tombera implacablement afin de sanctionner nos iniquités. Nous qui, actuellement, sommes grassement assis dans notre confort seront à genou dans la boue. Il sera trop tard. Nous serons alors obligés d’œuvrer deux fois plus dur pour arracher le pouvoir politique aux fils de Satan, mais, à quel prix ?

Si l’Église n’était pas vacillante, comme morte, nos prêtres monteraient encore en chaire pour nous édifier. Du fond de leurs tombes, nos aïeux, outrés par notre attitude débonnaire et irresponsable, nous contemplent d’un œil sévère. Nous sommes tous pécheurs et, à ce titre, nous devons, dès maintenant, nous repentir afin de suivre la voie droite qui mène à la blancheur immaculée de notre Seigneur Jésus-Christ. D’ici peu, ces quelques mots devront se transformer en actes. Ne perdons pas ces paroles. Elles nous seront utiles en temps voulu. Soyons-en certain.

Pour conclure cet article je citerai un nouvel extrait, sur l’oraison, de l’œuvre majeure du grand saint François de Sales, c’est-à-dire « Introduction à la vie dévote ».

« Mais vous ne savez peut-être pas, Philothée, comment il faut faire l’oraison mentale, car c’est une chose que, par malheur, peu de gens savent en notre âge. C’est pourquoi je vous présente une simple et brève méthode pour cela.

Se mettre en présence de Dieu

Le premier [moyen pour se mettre en présence de Dieu] consiste en une vive et attentive appréhension de la toute présence de Dieu, c’est-à-dire que Dieu est en tout et partout, et qu’il n’y a lieu ni chose en ce monde où il ne soit d’une très aimable présence… Car encore que nous sachions bien qu’il est présent en toutes choses, si est-ce que n’y pensant point, c’est tout comme si nous ne le savions point. C’est pourquoi toujours, avant l’oraison il faut provoquer notre âme à une attentive pensée et considération de cette présence de Dieu…

Le second moyen de se mettre en cette sacrée présence c’est de penser que non seulement Dieu est au lieu où vous êtes, mais qu’il est très particulièrement en votre cœur et au fond de votre esprit, lequel il vivifie et anime de sa divine présence, étant là comme le cœur de votre cœur et l’esprit de votre esprit…

Le troisième moyen, c’est de considérer notre Sauveur, lequel en son humanité regarde depuis le ciel toutes les personnes du monde, mais particulièrement les chrétiens qui sont ses enfants, et plus spécialement ceux qui sont en prière.

La quatrième façon consiste à se servir de la simple imagination, nous représentant le Sauveur en son humanité sacrée comme s’il était près de nous…

Vous userez donc de l’un de ces quatre moyens, pour mettre votre âme en la présence de Dieu avant l’oraison : et il ne faut pas les vouloir employer tous ensemble, mais seulement un à la fois, et cela brièvement et simplement.

Introduction à la Vie dévote, II, 2 (III, pp. 73-76)

Invoquer Dieu

L’invocation se fait en cette manière : votre âme, se sentant en la présence de Dieu, se prosterne en une extrême révérence, se connaissant très indigne de demeurer devant une si souveraine Majesté, et néanmoins sachant que cette même Bonté le veut, elle lui demande la grâce de la bien servir et adorer en cette méditation…

Introduction à la Vie dévote, II, 3 (III, p. 77)

Entrer dans le mystère par l’imagination

[Ensuite] proposer à son imagination le corps du mystère que l’on veut méditer, comme s’il se passait réellement et de fait en notre présence. Par exemple, si vous voulez méditer Notre-Seigneur en croix, vous vous imaginez d’être au mont de Calvaire et que vous soyez ce qui se fit et se dit au jour de la Passion ; ou, si vous voulez, car c’est tout un, vous vous imaginerez qu’au lieu même où vous êtes se fait le crucifiement de Notre-Seigneur, en la façon que les évangélistes le décrivent…

Par le moyen de cette imagination, nous enfermons notre esprit dans le mystère que nous voulons méditer, afin qu’il n’aille pas courant çà et là, ni plus ni moins que l’on enferme un oiseau dans une cage, ou bine comme l’on attache l’épervier à ses longes, afin qu’il demeure dessus le poing. Quelques-uns vous diront néanmoins qu’il est mieux d’user de la simple pensée de la foi et d’une simple appréhension toute mentale et spirituelle, en la représentation de ces mystères, ou bien de considérer que les choses se font en votre propre esprit ; mais cela est trop subtil pour le commencement, et jusques à ce que Dieu vous élève plus haut, je vous conseille, Philotée, de vous retenir en la basse vallée que je vous montre.

Introduction à la Vie dévote, II, 4 (III, pp. 78-79)

De l’imagination à l’intelligence : la considération

Après l’action de l’imagination s’ensuit l’action de l’entendement que nous appelons méditation, qui n’est autre chose qu’une ou plusieurs considérations faites afin d’émouvoir nos affections en Dieu et aux choses divines : en quoi la méditation est différente de l’étude et des autres pensées et considérations, lesquelles ne se font pas pour acquérir la vertu ou l’amour de Dieu, mais pour quelques autres fins et intentions, comme pour devenir savant, pour en écrire ou disputer.

Ayez donc enfermé votre esprit, comme j’ai dit, dans l’enclos du sujet que vous voulez méditer, ou par l’imagination, si le sujet est sensible, ou par la simple proposition s’il est insensible, vous commencerez à faire sur icelui des considérations. … Que si votre esprit trouve assez de goût, de lumière et de fruit sur l’une des considérations, vous vous y arrêterez sans passer plus outre, faisant comme les abeilles qui ne quittent point la fleur tandis qu’elles y trouvent du miel à recueillir. Mais si vous ne réussissez pas selon votre souhait en l’une des considérations, après avoir un peu marchandé et essayé, vous passerez à une autre ; mais allez tout bellement et simplement en cette besogne, sans vous y empresser.

Introduction à la Vie dévote, II, 5 (III, pp. 79-80)

De l’intelligence à la volonté

La méditation répand des bons mouvements en la volonté ou partie affective de notre âme, comme sont l’amour de Dieu et du prochain, le désir du paradis et de la gloire, le zèle du salut des âmes, l’imitation de la vie de Notre-Seigneur, la compassion, l’admiration, la réjouissance, la crainte de la disgrâce de Dieu, du jugement et de l’enfer, la haine du péché, la confiance en la bonté et miséricorde de Dieu, la confusion pour notre mauvaise vie passée ; et en ces affections, notre esprit se doit épancher et étendre le plus qu’il lui sera possible…

Il ne faut pas pourtant, Philotée, s’arrêter tant à ces affections générales que vous ne les convertissiez en des résolutions spéciales et particulières pour votre correction et amendement. Par exemple, la première parole que Notre-Seigneur dit sur la croix répandra sans doute une bonne affection d’imitation en votre âme, à savoir le désir de pardonner à vos ennemis et de les aimer. Or, je dis maintenant que cela est peu de chose, si vous n’y ajoutez une résolution spéciale en cette sorte : « Or, sus donc, je ne me piquerai plus de telles paroles fâcheuses qu’un tel et une telle, mon voisin ou ma voisine, mon domestique ou ma domestique, disent de moi, ni de tel et tel mépris qui m’est fait par celui-ci ou celle-là ; au contraire, je dirai et ferai telle et telle chose pour le gagner et adoucir, et ainsi des autres. » Par ce moyen, Philotée, vous corrigerez vos fautes en peu de temps, là où par les seules affections vous le feriez tard et malaisément.

Introduction à la Vie dévote, II, 6 (III, pp. 80-81)

Toujours privilégier le mouvement de l’amour dans l’oraison

Il vous arrivera quelquefois que tout de suite après la préparation, votre affection se trouvera toute émue en Dieu ; alors, Philotée, il lui faut lâcher la bride, sans vouloir suivre la méthode que je vous ai donnée ; car bien que pour l’ordinaire la considération doit précéder les affections et résolutions, si est-ce que le Saint Esprit vous donnant les affections avant la considération, vous ne devez pas chercher la consolation, puisqu’elle ne se fait que pour émouvoir l’affection. Bref, toujours quand les affections se présenteront à vous, il les faut recevoir et leur faire place, soit qu’elles arrivent avant ou après toutes les considérations.

Introduction à la Vie dévote, II, 8 (III, p. 85)

De la prière à l’action

Ceux qui se sont promenés en un beau jardin d’en sortent pas volontiers sans prendre en leur main quatre ou cinq fleurs pour odorer et tenir le long de la journée : ainsi notre esprit ayant discouru sur quelque mystère par la méditation, nous devons choisir un, ou deux, ou trois points que nous aurons trouvés plus à notre goût, et plus propres à notre avancement, pour nous en ressouvenir le reste de la journée et les odorer spirituellement. Or, cela se fait sur le lieu même auquel nous avons fait la méditation, en nous y entretenant ou promenant solitairement quelque temps après.

Rappelez le plus souvent que vous pourrez parmi la journée votre esprit en la présence de Dieu par l’une des quatre façons que je vous ai marquées ; regardez ce que Dieu fait et ce que vous faites : vous verrez ses yeux tournés de votre côté, et perpétuellement fichés sur vous par un amour incomparable.

Introduction à la Vie dévote, II, 12 (III, p. 91)

L’oraison continue au-delà du temps d’oraison : aspiration et retraite spirituelle

On se retire en Dieu parce qu’on aspire à lui, et on y aspire pour s’y retirer ; si que l’aspiration en Dieu et la retraite spirituelle s’entretiennent l’une l’autre, et toutes deux proviennent et naissent des bonnes pensées.

Aspirez donc bien souvent en Dieu, Philotée, par des courts mais ardents élancements de votre cœur : admirez sa beauté, invoquez son aide, jetez-vous en esprit au pied de la croix, adorez sa bonté, interrogez-le souvent de votre salut, donnez-lui mille fois le jour votre âme, fichez vos yeux intérieurs, sur sa douceur, tendez-lui la main, comme un petit enfant à son père, afin qu’il vous conduise…

Or, en cet exercice de la retraite spirituelle et des oraisons jaculatoires réside la grande œuvre de la dévotion ; il peut suppléer au défaut de toutes les autres oraisons, mais son manquement ne peut presque point être réparé par aucun autre moyen. Sans lui, on ne peut pas bien faire la vie contemplative, et ne saurait-on que mal faire la vie active ; sans lui, le repos n’est qu’oisiveté, et le travail, qu’embarrassement ; c’est pourquoi je vous conjure de l’embrasser de tout votre cœur, sans jamais vous en départir.

Introduction à la Vie dévote, II, 13 (III, pp. 94, 100) »

Ci-dessous, contemplons notre Seigneur Jésus-Christ qui bénissait et chérissait les enfants. Si, de nos jours cette civilisation mortifère les tue, notre Seigneur les aimait et les protégeait. Imitons-le !

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19 commentaires pour Le crime favorise la dictature mondiale

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  2. Henno dit :

    Dieu est grand ! Notre seigneur Jésus-Christ Merveilleux !!! N’ai rien d’autre à ajouter …

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  3. Colin madeleine dit :

    Chaque jour je prie St Michel Archange( prière de Léon 13)et IL me délivre de tout mal. De plus Il secourt le monde entier.SAns prières ou serions-nous?

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  4. larive dit :

    je prie tout les jours et j’ ai découvert la prière de st Michel archange de Léon13, je la dit souvent, que Jésus vienne a notre secours. Amen

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  5. jean dit :

    Bonjour,
    Nous vivons depuis longtemps dans une fausse démocratie et nous sommes tous marqués par le système de la bête. Nous vivons l’esclavage moderne. Nouvel ordre mondial? dictature ? Sortez du système qui nous dirige et vous allez voir comment vous allez finir. Je suis chrétien et quand je pose la question , pensez vous à une vie après la mort, la réponse du chrétien est souvent ‘non’ alors pourquoi être croyant ? Pourquoi prier si vous ne croyez en rien? Pourquoi prier et demander à Dieu de vous épargner des évènements qui peuvent arriver? La vérité de Dieu n’est pourtant pas loin, c’est la porte à côté, elle est en nous. Vivez une NDE et vous comprendrez certaines choses. J’ai eu la chance de recevoir un bain de lumière d’amour incondionnel. La mort n’est pas ce que l’on croit, son visage est terrible mais sa douceur est infinie. La seule est unique porte est Jésus Christ.

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  6. el vago dit :

    Cet article semble parler de deux choses différentes, d’abord de la dictature mondiale qui se met en place, de la réaction qu’il faut avoir face à celle-ci et ensuite de l’oraison grâce à un texte très inspiré de saint François de Sales.

    Cette pensée de Saint Vincent de Paul me semble très bien faire le lien et explique en quoi l’oraison est véritablement nécessaire dans cette lutte : « L’oraison est un arsenal mystique qui fournira aux missionnaires toutes sortes d’armes, non seulement pour se défendre, mais aussi pour assaillir et mettre en déroute tous les ennemis de la gloire de Dieu et du salut des âmes. »

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  7. dominique dit :

    L’autre jour j’ai guidé à vélo dns une étape qu’un amis m’a demandé d’assister des membres de l’altertour (passants dans ma région)et de Greenpies au bout d’un moment je me suis arrêté et suggéré au chef(gourou?) de s’arrêter pour attendre les retardataires et les plus faibles il m’a répondu qu’il ne fallait pas que d’autres s’occuperaient d’eux,alors je me suis arrêté tout de même et je le lui ai répondus aidez-vous les un les autres et réunissez-vous les uns les autres ,il m’a infligé un rictus narquois sentant sans doute que mon exemple venait du Christ !

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  9. Je vous salue…
    Prier à temps et à contretemps.
    Jésus leur répond : « C’est en raison de la dureté de votre cœur que Moïse vous a permis de renvoyer vos femmes. Mais au commencement, il n’en était pas ainsi. Or je vous le dis : si quelqu’un renvoie sa femme … »
    Il est adultère!
    Pas d’ambigüité. Alors, pourquoi vouloir tordre les Ecritures et vouloir leur faire dire ce qu’elles ne disent pas ?
    Nous sommes dans un débat qui ne devrait pas avoir lieu. Ou nous sommes au CHRIST-JESUS, ou nous n’en sommes pas ! Dans le deuxième cas nous ne pouvons pas nous dire chrétiens. C’est aussi simple que ça !
    Certains parmi nous voudraient revenir à la loi mosaïque pour ‘faire plaisir’ à une poignée d’hurluberlus en mal de notoriété.
    Non et non. Si j’ai un choix à faire, je dois TOUJOURS faire le choix que me dicte l’ESPRIT-SAINT et non celui qui ferai plaisir aux hommes.
    Si la situation actuelle devait être changée par une décision, contraire à la Parole du Créateur ; nous irions droit vers un schiste. Si par malheur le Pape cédait aux exigences de ceux qui prônent le changement d’attitude vis-à-vis des divorcés-‘remariés’, nous serions des apostas. Je mets remariés entre guillemets, car en fait, ils ne le sont pas aux yeux de l’Eglise. Ils sont simplement dans l’adultère. Certes nous devons avoir de la compassion pour ces personnes, mais haïr jusqu’à la tunique le péché qui les habite. N’oublions quand même pas que leur Vie éternelle en dépend ! Ce n’est pas de leur corps que nous devons avoir pitié, mais de leur âme.
    Oui la fumée de Satan (du Pape Paul VI) est bien entrée dans l’église. Ouvrons toutes grandes les fenêtres pour que nous puissions, à nouveau, respirer de l’air pur et non de l’air vicié par le péché.
    Que la Sainte Trinité vous bénisse et vous garde dans Sa Paix et Sa Joie !
    Merci !
    JFL
    Nota : Si vous le désirez, vous pouvez, ici, dire : Merci à DIEU par Son Fils, JESUS-CHRIST, Notre Seigneur et Maître. Celui-là même qui fût enfanté dans le sein de la Vierge Marie. Vous pouvez, ici, nous relater les merveilles, que l’ESPRIT-SAINT a faites, dans votre vie personnelle. Vous serez ainsi des missionnaires. Il vous suffit de cliquer sur le lien :
    http://prieratempsetacontretemps.wordpress.com
    Et n’oublions pas le jour dernier de la neuvaine, pour demander à DIEU, la guérison de Vincent LAMBERT!
    http://i.hozana.org/1MDvxyg prière pour Vincent LAMBERT

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  10. Bonsoir,
    Rectificatif:
    Il faut lire schisme et non schiste, bien sûr!
    Avec mes excuses!
    merci!
    JFL

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  12. Pour le très Haut, pour Jésus-Christ, pour le St Esprit.
    « Soyons attentifs ! Tenons-nous droits ! Tenons-nous avec crainte ! ».

    Et alors nos ennemis pourraient prendre peur, s’ils n’y comprennent toujours rien à rien.

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