La troisième Restauration ou le salut de la France

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La république française, livrée à la finance internationale, baigne dans l’irrationalisme le plus total. Ses élus privilégient leurs propres intérêts financiers au lieu de considérer le bien-être de la population. Leur attitude guerrière et irresponsable entraîne progressivement des troubles de plus en plus insolubles, que ce soit au sein du pays, de l’Europe ou du monde. La Russie et l’État Islamique sont devenus les meilleurs ennemis d’une civilisation à bout de souffle. Pendant que les valeurs s’écroulent, les rassemblements, prônant une liberté sexuelle héritée de 1968, défilent dans des conditions proches du sordide.

Les droits ont conquis les devoirs au détriment de ceux qui ont le plus besoin de personnes moralement solides et responsables. Les enfants sont devenus la proie d’intérêts sexuels au nom de la liberté ; le plaisir personnel supplante désormais le droit à la vie. L’égoïsme à vocation sexuelle, sans limite de moralité, est en train de déverrouiller les derniers remparts de la civilisation pour la transformer en une vaste maison close garnie de déviances, de drogues, de déjections et de matelas sales. L’irresponsabilité d’une partie de la population est poussée à son paroxysme. Pendant que certains défilent nus dans les rues, d’autres meurent seuls et abandonnés de tous.

Les enfants, les vieillards, les malades, les méprisés, les mendiants, les faibles, les handicapés, les opprimés, les travailleurs et les familles sont progressivement écartés d’une société prônant la mort et le plaisir immédiat. Un terrible aveuglement teinté d’une naïveté farouche rend la civilisation invivable, intenable, injuste, immorale et toujours dénuée d’intelligence. Dans ces conditions, ceux qui espèrent un monde meilleur souffrent en silence, sans aucun moyen d’expression car l’individualisme a étouffé les cris de détresse. Le dernier bastion familial est en passe d’imploser pour laisser la place à une humanité prônant la mise en esclavage des individus à travers une technologie sans morale.

Il s’agit d’une doctrine découlant du cyber-anarchisme qui prône un contrôle totalitaire masqué par les panneaux publicitaires ; c’est la société de l’illusion, par excellence. Le futur promis par les milliardaires déshumanisés ressemble à un enfer dominé par les pulsions animales, le mélange des corps et la lubricité bestiale. Une telle hypothèse ferait frémir n’importe quel être humain normalement constitué. Le mal absolu est en passe de dominer la planète derrière ses écrans de fumée pour naïfs technophiles. Le tableau est sombre mais au-delà de cette noirceur, il s’agit d’une réalité palpable.

Les valeurs prônées par le Christianisme dérangent ceux qui cherchent à satisfaire leurs pulsions animales. C’est en usant et en abusant de multiples libertés aux forts relents lobbyistes, favorisant le renforcement de l’égoïsme, que les « élites » tentent d’imposer leur volonté dans un monde secoué par les catastrophes naturelles. Notre époque, plutôt apocalyptique, annonce la fin d’une civilisation dominée par Mammon et un athéisme forcené. Ceux qui brandissent l’étendard noir à tête de mort sont bercés par la flûte de Pan, cette redoutable divinité païenne qui symbolise la foule hystérique. Les révolutionnaires, véritables moutons charmés par l’homme à la flûte, espèrent glisser lentement dans la piscine tiède des délices charnels alors qu’en réalité ils marchent en direction du précipice. Le faux berger charme les suiveurs pour mieux les égarer dans les ténèbres.

Si, de ce désordre intolérable devait naître une guerre, il serait alors nécessaire de former une armée aux rangs resserrés. Dans ces conditions, la contre-révolution doit alors devenir le seul et unique leitmotiv d’une population espérant un monde meilleur. Les valeurs du Christianisme demandent aux fidèles de prier et d’espérer. Dieu prête main forte à ceux qui le réclament de tout leur cœur. Les premiers Chrétiens sont morts en martyrs, ce qui a fait de ces nobles ancêtres des Saints protecteurs, dont les Francs se sont réclamés suite à la victoire de Clovis sur le champ de bataille. Nous ne sommes pas guerriers par nature, au contraire, nous tendons la joue, nous nous rendons à la messe, nous faisons la charité, nous prions enfermés à double-tour dans notre chambre, nous nous confessons et nous lisons la Bible. Nous veillons à nous éloigner le plus possible du péché selon notre propre force spirituelle.

La guerre de conquête est une grave hérésie napoléonienne, pour parler seulement de notre nation, mais qu’en est-il du combat purement défensif ? Les habitants des châteaux-forts se défendaient contre l’envahisseur, non pas pour tuer, mais, pour empêcher leurs ennemis de pénétrer à l’intérieur de la forteresse. Avons-nous le droit de nous défendre ? D’un point de vue spirituel, non, puisqu’il est souhaitable de tout remettre entre les mains de Dieu. Cependant, d’un point de vue opérationnel, la défense de la vie des plus faibles est requise. Si nous ne le faisons pas, nous nous faisons les complices de l’ennemi et, surtout, qui seraient en mesure de supporter de voir leurs proches, leurs parents, leurs femmes, leurs enfants et leurs amis, se faire égorger sans répondre à l’horreur de l’agression ? C’est un acte totalement insupportable pour ceux qui aiment réellement Dieu et les hommes. Bien sûr, il est préférable de se retirer, avec son peuple, dans un lieu sécurisé et viable plutôt que de riposter, mais, que faire lorsque cette ultime forteresse est sur le point d’être assiégée ? Si nous nous en référons aux rois de l’antiquité, la riposte, combinée à la Foi en Dieu, semble la seule option valide. Si Clovis n’avait pas invoqué Jésus-Christ et s’il ne s’était pas battu sur le champ de bataille, la nation Franque n’aurait jamais vu le jour. Un tel choix est, évidemment, difficile mais nécessaire pour préserver la population.

Ainsi, il est nécessaire de faire la part des choses entre la spiritualité ; la Cité de Dieu ; et la vie physique ; la cité terrestre. Si nous ne savons pas le faire, nous tombons dans un manichéisme redoutable qui insinue que les ténèbres sont victorieuses sur la lumière. Dans la tradition manichéenne le monde est dominé par Satan ; les ténèbres ; et Dieu est un être faible ; la lumière. Il s’agit d’une hérésie qui est aujourd’hui appliquée, de manière fourbe, dans la vie consumériste. La population a accepté, d’avance, la défaite face à un ennemi sournois qui se cache derrière des infrastructures technologiques, institutionnelles et médiatiques. La doctrine de Mani, ce redoutable luciférien, domine actuellement, sur la terre, à travers une version déformée de la gnose. Nous, Chrétiens, peuple du seul et unique Dieu Vivant, devons saisir à bras le corps la bannière du Sacré-Cœur de Jésus pour la brandir avec fierté afin de faire reculer le règne des ténèbres. C’est une décision délicate et difficile, je l’accorde au lecteur, cependant, si nous patientons les bras croisés, le miracle ne viendra pas car il a été dit « aide le Ciel et le Ciel t’aidera ». Bien évidemment, nous ne pouvons rien faire tant que la guerre n’est pas déclarée car nous sommes des défenseurs mais en aucun cas des guerriers agressifs.

J’aimerai, maintenant, raconter l’histoire du sage dans la montagne. Autrefois, selon une légende, on disait qu’un sage descendait, de temps à autre, de sa grotte pour annoncer aux voyageurs qu’il se trouvait là-haut, dans les hauteurs, et qu’il attendait que son peuple le rejoigne pour qu’il puisse le sauver. Un tel ermite qui attendrait en priant, sans rien faire d’autre, serait dans l’illusion de l’esprit. L’homme qui attend patiemment que le miracle se produise vit dans une sphère mystique tellement intime que personne ne saurait la franchir. Il s’agit d’un absolutisme spirituel qui retire à l’homme ses chances de réussite face au règne des ténèbres. Toutefois, il est fondamental de vivre de Foi, d’Espérance et de Charité. La Sainte Messe traditionnelle est indispensable à notre salut parce que l’homme éclairé a besoin de sacralisation. C’est pourquoi il faut être en mesure de faire la part des choses entre la Cité de Dieu et la cité terrestre. Nous ne saurions appartenir totalement à l’une ou à l’autre sans tomber dans l’absolutisme. Si, de nos jours, la cité terrestre et son attitude déraisonnable a absorbé la Lumière du Christ, nous devrons œuvrer pour que la Cité de Dieu devienne, un jour, une réalité tangible sur la planète.

En cas de victoire providentielle sur l’armée ennemie, il est indispensable de leur demander la conversion. C’est en suivant la voie du Christianisme que les anciens bourreaux se transforment en agneaux fidèles au Christ. L’histoire de la France nous l’a déjà prouvé. Il n’est pas possible à un Chrétien d’agir comme un barbare en massacrant les vaincus. C’est pourquoi la demande de conversion de l’ancien adversaire est nécessaire parce qu’elle donne la vie. Elle est même le premier pas vers le baptême. L’ennemi barbare sera d’ailleurs surpris de s’entendre dire qu’il est libre et qu’il fera partie de la population s’il accepte Dieu, Jésus-Christ, la Sainte Vierge, les Anges et les Saints dans son cœur. N’est-ce pas là une preuve de clémence et d’amour envers son prochain selon les préceptes du Christ ? Certains diront qu’il s’agit d’un totalitarisme, cependant, si on ramène les choses à leur place, l’absolutisme financier est la pire des dictatures parce qu’elle donne le pouvoir à une infime minorité tandis que le Christianisme offre une chance, à tout un chacun, de vivre selon des préceptes sains et solides.

Si la guerre parvenait à se déverser, devrions-nous favoriser la troisième Restauration ou devrions-nous accepter de mourir en masse pour que s’installe, sur l’ensemble de la planète, le règne de la bête ? Saint Michel a mené une rude bataille contre Satan pour le chasser du Paradis. On voit sur la photo de cet article le saint Archange, terrassant Satan, muni d’une balance et d’une lance. La balance symbolise la justice qui rend les œuvres passées. La lance, quant à elle, assure la victoire sur le mal grâce à sa lame tranchante. Saint Michel a combattu pour Dieu dans le but de débarrasser le Paradis des orgueilleux. Le majestueux Archange s’est transformé en guerrier, non pas pour le plaisir de combattre, mais, pour chasser les démons du Paradis. La rébellion de Satan rendait les lieux invivables pour les Anges qui adoraient Dieu. Le combat n’est jamais souhaitable, mais, lorsque celui-ci est le dernier recours pour libérer un lieu du mal qui s’épanche dangereusement, celui-ci devient alors nécessaire et même indispensable pour préserver l’Amour.

La conquête du Paradis par Satan aurait transformé les lieux en véritable enfer. La haine aurait supplanté l’Amour. Une lutte acharnée entre le Bien et le mal devient, malheureusement, la seule cause raisonnable, au-delà des clivages politiques prônés par les héritiers de Machiavel, en cas de guerre générée par les tenants de la finance. La Justice combattant la méchanceté permet de rassembler, sans aucune autre condition, tous ceux qui souhaitent un monde meilleur. Par conséquent, l’ensemble des racismes s’effacent littéralement devant cette inéluctable lutte. La politique traditionnelle favorisant les intérêts des élus s’effondre comme neige au soleil devant une cause véritablement Juste. Les privilèges des castes deviennent immoraux et caducs. Une telle bataille rend leur liberté aux anciens élus, en leur ôtant les privilèges injustifiés, et, surtout, en leur demandant de choisir un camp. Un véritable roi œuvre pour le bien de son peuple. Saint Louis marchait pieds nus dans la boue pour mener ses batailles. Il vivait de manière simple et œuvrait pour son peuple au lieu d’être grassement servi au frais du contribuable. La république a transformé ses élus en roitelets, rigolards et opportunistes, très éloignés de la cause populaire.

Nous devons nous conduire comme de bons Chrétiens, défenseurs de la Foi, en temps de paix et en Chrétiens défenseurs du Sacré-Cœur en temps de guerre. Si nous acceptons de nous laisser massacrer, nous ne donnons aucune chance à la bannière blanche du Christ de flotter au gré de vent sur un territoire reconquis. La décision de combattre est très difficile à prendre pour un Chrétien mais elle est parfois indispensable lorsqu’il s’agit de l’ultime recours pour le salut d’un pays. C’est en vivant, sainement, de la Foi et de la prière que le Saint-Esprit est honoré. C’est en défendant les plus faibles contre les barbares qu’un peuple devient le protecteur de l’Amour. Un roi doit savoir prendre, le premier, la défense de la Sainte Bannière et c’est encore à lui qu’il revient de mener, à la tête de ses troupes, les campagnes de reconquête. Le bon Saint Louis partait à la tête de son armée. À l’opposé des présidents de la république, il ne se cachait pas la tête dans un seau en attendant que ses troupes se fassent décimer. Un roi s’écrie « pour le Christ ! » en même temps qu’il brandit le sabre du haut de son cheval, avant de s’élancer au galop vers l’ennemi. C’est dans ces moments-là, particulièrement intenses, qu’il motive ses troupes pour qu’ils puissent vaincre, ensemble.

La différence entre la république et la monarchie est fondamentale parce que, dans le premier cas, c’est le roi qui anime son royaume alors que, dans le second, c’est le peuple, œuvrant dans l’ombre, qui prend les décisions intelligibles. Dans la république contemporaine, les têtes pensantes ne se trouvent plus dans le haut du pavé, mais, au contraire, dans la basse largeur de la pyramide sociale. Un roi, selon la tradition franque, se veut protecteur des faibles tandis qu’un président et ses ministres se font les garants de leur propre sécurité et bien-être. L’héritage mensonger de la politique contemporaine est issu de la Terreur de la fin du XVIIIe siècle.

Il est indispensable que le peuple Chrétien se resserre autour de la bannière du Sacré-cœur en cessant de tergiverser. Cette attitude nous affaiblit pour le bonheur de ceux qui nous divisent selon les lois de machiavel. Nous avons l’inestimable chance de former le corps du Christ et c’est lui, seul, qui en compose la tête. Il est temps d’en terminer avec les querelles intestines en apprenant à faire taire son ego. Cessons de faire le jeu de ceux qui cherchent à imposer leur monde totalitaire, fait de technologie stérilisante. La publicité tue l’âme à petit feu pour transformer l’individu en consommateur décérébré. La beauté des siècles s’efface devant les écrans technologiques qui diffusent, en boucle, des spots publicitaires prônant les qualités de produits futiles mais indispensables à l’enrichissement d’une dangereuse minorité. L’homme est né pour conserver sa liberté, il n’a pas été conçu pour devenir l’esclave de ceux qui souhaitent assouvir leurs pulsions primitives. Surtout, l’argent ne donne aucune légitimité à ceux qui en possèdent. La dictature monétaire devra être éradiquée afin que ceux qui étaient puissants connaissent de nouveau l’humilité en redevenant de simples citoyens.

La technologie est inutile pour un peuple véritablement libre. Nous avons seulement besoin de matières premières afin de pouvoir vivre dignement, dans la simplicité, dans le respect de l’environnement, pour l’amour de Dieu et des hommes. Bien sûr, la liberté retrouvée est, aujourd’hui, une lointaine utopie par la faute des esclavagistes contemporains. Nous devons avoir une inébranlable foi en Dieu. C’est l’espérance en un monde meilleur qui nous assurera la survie. Dieu nous prêtera main forte s’il estime que nous agissons pour sa cause. Je crois de toutes mes forces en un monde libre, débarrassé de ceux qui cherchent à nous arracher nos enfants, nos grands-parents, nos malades, nos mendiants et nos opprimés. Surtout, nous devons avoir une conduite exemplaire comme le disait Padre Pio. Nous devons respecter nos adversaires, cesser toute forme de racisme ou de mépris. Le Christ nous demande de briller dans sa lumière afin d’éclairer l’humanité. Il ne nous demande pas d’être à l’image de nos ennemis. Jésus-Christ avait promis la géhenne pour les injustes lorsque sa justice supplanterait sa miséricorde. Si la guerre devait être déclarée par la faute de certains, nous devrons œuvrer de toutes nos forces pour que la justice du Christ nous épaule dans notre combat terrestre. La reconquête, douloureuse, est à ce prix.

Si nous parvenons à la reconquête, nous abolirons les lois afin de rétablir la morale. C’est elle seule qui doit diriger la citoyenneté parce qu’elle invite à la vertu. Rédiger des lois en favorisant les vices est totalement irrationnel parce que cela pousse le mal à se répandre au cœur de la cité humaine. A contrario, abolir les lois pour imposer une moralité forte permet de rendre la société cohérente ; le bien domine et le mal recule d’autant. Les instincts chevaleresques refleurissent sur le sable du désert contemporain, la sainteté renaît de ses cendres et les vocations de prêtres prospèrent.

De nos jours, les digues assurant la cohésion s’effondrent, une à une, sous le poids d’une eau mortifère et déchaînée. Les citoyens vivent dans la peur devant les comportements violents et négatifs de certains. Si la moralité était enseignée, ces débordements n’auraient jamais eu lieu. Les lois seraient caduques parce que les citoyens refuseraient massivement les mauvais comportements. La peur dans une société de l’individualisme est une arme d’intimidation redoutable. Les citoyens, se sentant isolés, n’osent plus exprimer ouvertement leur mécontentement. Un pouvoir totalitaire hypocrite agit en entretenant une peur sournoise selon des techniques politiques ancestrales.

Nous sommes, effectivement, au cœur d’une dictature qui ne dit pas son nom. Le mal se cache derrière des illusions, des visages souriants, des costumes flambants neufs et des richesses. Le mensonge habite les cœurs mauvais qui se complaisent dans leur propre orgueil. C’est la société de l’intolérable, celle que nos ancêtres n’auraient jamais admise. Alors, oui, je le dis haut et fort, si la guerre devait survenir, nous aurions à refonder les armées du Christ pour défendre notre noble cause, non pas pour tuer, mais pour que Jésus-Christ puisse retrouver sa place dans nos églises. Que l’on nous traite de fondamentalistes et nous dirons que l’ennemi se complaît dans la richesse et le mensonge pour le plus grand malheur des populations. Si la planète ressemble à une vaste décharge, ce n’est certainement pas de la faute des Chrétiens. Vive le Christ-Roi !

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13 commentaires pour La troisième Restauration ou le salut de la France

  1. Ricquet dit :

    Bonjour.
    Pour illustrer les premiers mots de ton texte :

    Monsieur Philippe DURON : membre du PARTI SOCIALISTE !
    Il est à la fois :
    > > – Député du Calvados,
    > > – Membre de la commission du Développement Durable et de l’Aménagement du Territoire à l’Assemblée Nationale,
    > > – Président du groupe d’amitié avec la Macédoine,
    > > – Membre du groupe d’études Cheval à l’Assemblée Nationale,
    > > – Membre de la section française de l’Assemblée parlementaire de la francophonie, – Maire de Caen, En charge du développement de la ville de Caen,
    > > – Président du conseil de surveillance du centre hospitalier universitaire ( CHU ) de Caen,
    > > – Président de la Conférence des Villes de l’Arc Atlantique,
    > > – Président du conseil d’administration de Normandie Aménagement,
    > > – Président de Caen Presqu’île,
    > > – Membre d’honneur du conseil d’administration de l’École d’Ingénierie et travaux de la Construction de Caen,
    > > – Représentant de l’association de gestion de la fourrière et du refuge d’animaux de Verson,
    > > – Administrateur du Comité pour l’Organisation des Manifestations Touristiques et Économiques de Caen,
    > > – Président de la Société d’Économie Mixte : Gestion du Mémorial de la Bataille de Normandie,
    > > – Vice-président de l’Union Amicale des Maires du Calvados,
    > > – Membre du Bureau de l’Association des Maires des Grandes Villes de France ( AMGVF )
    > > – Président de l’Agglomération Caen-la-Mer,
    > > – Administrateur de l’Assemblée des Communautés de France,
    > > – Président de Caen Métropole,
    > > – Membre de droit du Conseil national du Parti Socialiste,
    > > – Co-président de l’association Transport Développement Intermodalité
    > > – Vice-président de la Conférence de réseaux Transfrontaliers et Interrégionaux de Villes ( CECICN ),
    > > – Membre de l’association Avenir Transport,
    > > – Membre du collège « collectivités territoriales » au Conseil d’Administration de l’Institut des Hautes Études de Développement et d’Aménagement des territoires en Europe,
    > > – Administrateur de l’Association Relais des Sciences,
    > > – Administrateur de l’Agence de Financement des Infrastructures de Transport de France,
    > > – Membre du bureau de l’Institut de la Gestion Délégué Environnement ….

    La République, bonne mère, vous a autorisé donc à cumuler 28 titres, dont 4 mandats nationaux et 24 fonctions aussi diverses que considérables.

    Les journalistes, mauvais esprits, vous ont consacré, au terme d’une longue et méticuleuse enquête menée par Le Parisien, «premier cumulard de France ».

    Les mauvaises langues – notre pays n’en manque pas – ne tarderont pas à vous faire remarquer que vous cumulez ainsi plusieurs dizaines de milliers d’euros mensuels sans compter – et il faut le compter, car c’est souvent le principal la multiplication des avantages en nature : voitures, chauffeurs, assistantes, secrétariats, voyages d’études ou pas, défraiements et aides logistiques diverses qui font, chacun le sait sur les bancs de l’Assemblée et d’ailleurs, la saveur inavouée mais incomparable du cumul.

    Cumul, vous avez dit cumul ?
    28 cumuls, soit environ 55.000 EUR/mois NON IMPOSABLES !!

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  2. Petros dit :

    Très bon article.

    L’entraînement pour le combat final est à Lyon si vous voyez ce que je veux dire… 😉
    Je compte sur vous !

    Aimé par 1 personne

  3. Ping : Extraits d’un Article *La troisième Restauration ou le salut de la France * Pendant que certains défilent nus dans les rues, d’autres meurent seuls et abandonnés de tous* | *Avertissement-Messages-Prophéties*

  4. Beatrix Laffite dit :

    J’aimerais être abonnée à votre site

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  5. myriamir dit :

    Bonjour, je m’arrête deux minutes pour vous dire  »Bravo » votre site est très bien fait, intelligent, facile d’accès, vos articles sont très intéressants et bien documentés…Lucides..!
    Je demande à notre Dieu d’Amour de vous comblé de grâces, de vous protégé ainsi que votre famille !
    Encore une fois  »FÉLICITATION »

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  6. Séraphin de Marie dit :

    Un Texte COLLOSSAL ! Je pèse mes mots. Ecrit avec une profondeur de Sagesse Divine qui laisse transparaitre la plume de l’Esprit Saint.

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  7. Sébastien dit :

    Bonjour, ce site est magnifique et parle droit au cœur. On reconnait derrière ces enseignement les véritable enfant de Dieu et serviteur de notre seigneur Christ Roi.Frères et sœurs je reste a votre disposition pour agir, monter une armé du Saint Rosaire, défendre l’église, les pauvre, les rejeté de la société….Enfin je c’est pas, mais pas rester seul chacun de son côté et laissé les événements arriver, a rester dans le désespoir en regardant la misère du monde a la télé, dans nos villes, voir la haine, la violence, la délinquance, l’injustice….Alors je lance un appel a toute les bonne âme pour servir activement notre Roi le Christ qui n’a pas hésité a revêtir notre pauvre humanité et nous racheter de l’esclavagisme, de la mort éternelle par sa passion, sa mort et nous mener a la gloire de sa résurrection et juste par pur amour gratuitement.
    Je vous bénis par le cœur immaculé de maman Marie et que Dieu vous garde et nous rassemble tous. Amen

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    • Cher Sébastien,

      Le mal est en train de se propager sur la planète. Il est sur le point de remporter la victoire par la guerre matérielle. Malheureusement, comme l’a dit notre Seigneur Jésus-Christ, il faut que cela arrive. Ce n’est que lorsqu’il y aura un malheur en France que les gens pourront réellement se mobiliser pour favoriser l’Amour Chrétien. Pour l’instant, les gens sont pris dans leur quotidien et restent imperméables à ce qu’il se passe autour d’eux.

      Quoi qu’il arrive, il sera nécessaire d’attendre le dernier moment pour que nous puissions nous manifester. Tout devra sembler perdu à jamais pour obtenir un miracle de la part de Dieu.

      Nous essayons de mobiliser autour de nous mais nous sommes tous éparpillés et il n’y a pas vraiment de force motrice, pour l’instant. La mobilisation obtenue se résume à quelques poignées de main ou l’arrivée de quelques personnes. Le Christianisme est actuellement méprisé au plus haut point et cela est encouragé par le système.

      Retenez bien que seul un miracle de Dieu nous sauvera au dernier moment.

      Si vous avez des idées, n’hésitez pas à les donner car nous avons besoin de tout le monde 🙂

      Dieu vous bénisse cher Sébastien.

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